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 Philippe Marlu |
 membres : Philippe Marlu : chant  style musicale : chanson rock  famille musicale : Casse Pipe - Etienne Grandjean - Néry - Thomas Fersen  contacts : French Song 12 Venelle des Champs Lorin 22000 Saint Brieuc frenchsong@wanadoo.fr CONTACT CONCERTS : BRUNO LE MASSON 06.08.80.66.94 Brunolemasson@aol.com www.toot.fr Site(s) : Philippe marlu - site officiel: marlu.monsite.wanadoo.fr
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Philippe Marlu est un auteur exigeant, rompu au vocabulaire argotique. Il écrit pour les autres: "Casse Pipe" ou chante ses propres chansons comme il le fait sur "Les mémoires d'un chat" et "Les valses machines" qui sont pour le moment ses seuls disques. Plus récemment, au sein du duo "L'os", il chante avec Etienne Grandjean à l'accordéon.
Les soupeurs:
Au début de sa carrière de musicien, Philippe Marlu crée avec un groupe d'amis "Les Soupeurs". Philippe Onfray en fait partie, il sera plus tard l'accordéoniste de "Casse Pipe". Ensemble, ils revisitent des vielles chansons populaires et contraires à la bonne morale.
Leur univers est peuplé de putains, de truands, de mendiants, de troquets et de rues sombres...
L'une de ses chansons: "La putain consciencieuse" raconte comment une putain donne l'inventaire de ses charmes, détails et tarifs à l'appui.
Le groupe existe encore, et se reforme à l'occasion. Il remonte ainsi sur scène en 2002 lors du festival du grand soufflet, le festival de l'accordéon.
Casse pipe:
Philippe Marlu est l'un des nombreux auteurs à avoir collaborer avec "Casse Pipe".
Il a notamment écrit "L'étoile rose" pour le groupe "Bal perdu" qui allait devenir plus tard "Casse pipe". Cette chanson s'intéresse à la déportation de la minorité homosexuelle.
Il est également l'auteur de "Viva la muerte" qui figure sur le premier album de "Casse pipe": "Chanson noire - tome 1"(1993). Il en donnera plus tard sa propre version sur son premier album.
Premier album:
En plus d'écrire pour les autres, Philippe Marlu chante également ses propres textes. Avant la parution de son premier album, il défend d'abord ses textes sur scène. Il participe ainsi au festival Art Rock au printemps 98 et sort "Les mémoires d'un chat" l'année d'après.
Son audience reste confidentielle, mais il obtient la reconnaissance de la critique.
L'album révèle le talent de l'auteur. Son écriture est à la fois caustique et tendre, sombre et pleine d'humour. Les rimes sont riches et les idées larges. Philippe Marlu apparaît comme un personnage cultivé, sophistiqué et désinvolte, un "dandy désabusé".
Ses chansons sont parfois misogynes("la chanson vache"), anarchistes, évoque la fête foraine et comme Thomas Fersen, Philippe Marlu cultive son bestiaire(chats, chiens, oiseaux de tout genre).
Duo L'os:
Etienne Grandjean est un accordéoniste hors pair. Avec son groupe "La belle société", il a développé un univers musical singulier empreint de fête foraine, de cirque et de marins. Avec Philippe Marlu, il forme le duo "L'os". Leur musique dépouillée est réduite au seul accordéon d'Etienne Grandjean et au chant de Philippe Marlu. Voici l'occasion pour les deux musiciens de partager leur goût pour la bonne chanson réaliste. La formation se produit à plusieurs reprises et reprend le répertoire traditionnel ou interprète ses propres compositions. |
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Message d'amour ou billet critique, laisse un message pour Philippe Marlu!
Pour l'instant: 4 message(s).
 Donner son avis
| résidence(le 08/06/12) |
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Bonjour, je travaille dans une médiathèque du 93 et me demande s'il serait possible de faire venir Philippe Marlu pour une résidence musicale en 2013, qu'en pensez-vous ?
merci de répondre
Michèle Nève
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| Magnifique !(le 06/10/08) |
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| Je fouille inlassablement toutes les niches de la chanson, des années 50 à 2000, à la recherche de ce qui risquerait de m'échapper, et je viens à l'instant de tomber sur l'album "Les valses machines", alléché à le re-lecture de Chorus (automne 2005) et emballé par l'écoute sur "music-Me". Magnifique ! Un programme intemporel, loin des modes, mais qui fait mouche sans défaillir. On est au niveau des Michel Buhler, Jofroi, ou Luc Romann, avec parfois un climat à la... Fréhel. Pour moi, une découverte comme j'en fait seulement 2 ou 3 par ans, sur des centaines d'écoutes. Paroles, musiques, voix, thèmes... tout est enthousiasmant. A connaître et faire connaître.
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| L'homme au cutter : un petit bijou(le 11/01/08) |
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Je viens d'entendre "l'Homme au Cutter" sur Radio Rennes et suis tombé l'oreille en arrêt. je ne commaissais pas Philippe Marlu et c'est une belle découverte. Ce texte est un petit bijou - dans la lignée de nos meilleurs auteurs.Je cours acheter le disque et je m'attends à "bien me régaler".
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| Chronique album « Les valses machine » de Marlu(le 13/12/04) |
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La valse, ça se danse à deux, non ?
La galerie de portraits de Marlu s’imagine aussi bien à deux… Que seul, lové prés du poêle à charbon des rabouins, tranquille à siroter le litron de Johnny Bosco ou bien encore à rêver d’être dans les bras de Jésus-La-Caille… Seul à imaginer la danse folle de ces baroudeurs marluesques et à écouter ces boniments d’un temps d’ailleurs et d’toujours.
Un album aux couleurs d’une aquarelle éphémère « Une sirène dans ma baignoire », empruntes de cubisme évidemment « Picasso, chanson cubique », du crayon justement taillé de Mathurin Méheut « Trinquons nos verres », brutalement guernicaesques « Le triangle rose », du papier collé à la Braque « Les valses machines », d’un trait sans détail si impressionniste « Fuyez les amours ».
Une galerie de portraits déglingués dressée par une galerie de peinture dopée à la vitamine, le verbe ciselé au cutter de ce poète qui dégaine ses mots comme on parle au creux de l’oreille du juge ou d’sa mère au premier cri.
La valse tourne… détourne… chante… déchante… crie… décrit… peint… dépeint… Quelques destins grattés, soufflés par des musiciens qui n’ont pas leur pareil à se poser sur la palette d’ces chansons dont « tout l’monde dira qu’cest bien fait ». Bien plus que ça.
Et vous, maintenant, voulez-vous bien entrer dans la danse ?
céline mahé, rennes
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